Plus de 100 ans d’histoire…
« 100 ANS D’HISTOIRE ET DE DÉFIS RELEVÉS, 100 ANS D’HISTOIRE ET D’INNOVATIONS PRÉSENTÉES, 100 ANS D’HISTOIRE ET DE CLIENTS CONTENTÉS, ET L’AVENTURE CONTINUE DE S’ÉCRIRE ET DE S’INVENTER ! »
Frédéric Froissart, directeur général du groupe CGP Coating Innovation.
En 2014
- CGP ouvre des bureaux de vente à ISTANBUL en TURQUIE et à SEOUL en CORÉE.
- CGP élargit sa gamme avec des papiers et films anticorrosifs.
- CGP cède les activités de MULTISAC à SIGOPLAST.
- le marché très dégradé en prix en raison des importations massives ne permet plus à SOFILMA de rentabiliser l’extrudeuse qui est arrêtée : seule les bobineuses continuent en découpant des films externes.
En 2015, l’usine de WORMHOUT est définitivement stoppée et les activités de bobinage transférées sur le site de PARENT. La même année, CGP reprend la société CARCIAL, entreprise de carton ondulé et l’intègre à CGP BERRY. La même année, CGP lance une activité d’impression numérique au sein de CGP BERRY.
En 2016, CGP cède les sociétés ETIQROLL et GIGAULT maintenant redressées et non stratégiques.
En 2017, CGP lance l’investissement d’une machine d’enduction pour l’usine de BROMONT au CANADA dont le démarrage est prévu en 2018. CGP ouvre également un bureau en CHINE dans la banlieue de Shanghai. Et fin d'année 2017, il y a la création de la société CGP ONLINE qui porte les activités de vente en ligne via Internet.
En 2018, CGP achète la société mexicaine FORTAPACK à MONTERREY, au nord du MEXIQUE, là où se situe une intense vie industrielle, renforce ses capacités de distribution au MEXIQUE et en AMÉRIQUE CENTRALE. La même année CGP transforme également son bureau de vente en TURQUIE en société qui devient CGP TURQUIE.
Le 23 mars 1918, Maurice WOLFF fonde la Compagnie Générale des Papiers à partir des anciens établissements
Maurice WOLFF et Pierre MAZOYER Réunis créés en 1886 à Paris et font l’acquisition des Papeteries du BAS RHIN qui produit de la pâte au bisulfite, dispose de 4 machines à papier et produit 5 000 tonnes par an. CGP a également une usine de transformation de Papier dans le XXème arrondissement.
CGP installe peu à peu un réseau de succursales de vente, la première étant celle de ROUBAIX. En 1926, il y aura 10 succursales : ALGER, ANGERS, BORDEAUX, DIJON, MARSEILLE, MULHOUSE, ROANNE, ROUBAIX, ROUEN et TOULOUSE.
La gamme de produits est large : kraft au bisulfite – celluloses écrues et couleur - phormium gris - cristal - sulfurisés - parcheminés - mousseline et bulle corde - goudronnés - cirés - entoilés - entre deux armés - carton paille.
En 1926, la production annuelle de l’usine de SCHWEIGHOUSE est de 10 000 tonnes.
A partir de 1928, de fortes dissensions apparaissent chez les actionnaires de CGP et vont conduire à une scission familiale qui affaiblira le groupe.
Deux frères sont intervenus pour la reprise de CGP : André et Jean NUGER. La fusion fut effective en décembre 1935 et la nouvelle société s’appela « LA COMPAGNIE GENERALE DES PAPIERS FERON ET LENFANT REUNIS ».
La société va rapidement connaitre des difficultés suite à la crise de 1936 puis en raison de la guerre.
L’usine de PONTS et MARAIS redémarre après la guerre et celle de LA PLAINE SAINT-DENIS poursuit ses activités. Une autre usine de production de papier est reprise dans le PUY DE DÔME. Il reste alors 12 succursales de vente après la fermeture de NANCY et BEAUVAIS.
En 1956, CGP commence la commercialisation du carton ondulé.
En 1961, CGP achète à EDF une centrale thermique désaffectée située sur la commune de PARENT (Puy de Dôme) mais qui portera longtemps le nom d’usine de COUDES.
En 1964, on est en plein dans les trente glorieuses.
- Le CA croît de 56 % entre 1956 et 1964 et atteint 69 millions de Francs
- L’activité commerciale est basée sur la distribution d’emballage papier et de carton ondulé qui représente en 1964 le double de la production des usines. Cette distribution est assurée par 12 succursales de vente, celle d’ALGER étant maintenue après l’indépendance de l’ALGERIE. CGP a 40 000 clients dont 28 000 commandant régulièrement.
- L’usine de PONTS et MARAIS qui compte 20 000 m2 sur 7 ha, au bord de la BRESLE, produit 8 000 tonnes de papier par an (kraft et interkraft écrus de 64 à 160 g/m2) sur une machine à papier de laize 2,40 m à partir de pate vierge et de recyclés. Elle produit aussi du papier crêpé et démarre une onduleuse en 1964.
- L’usine de SAINT-AMANT TALLENDE qui compte 7 000 m2 sur 1,2 ha, au bord de la VEYRE, produit
- 5 000 tonnes par an de kraft et interkraft frictionnés de 40 à 120 g/m2 à partir de pate vierge et de recyclés sur une machine à papier de laize 2,40 m ; elle commence la production de kraft blanchi et de celluloses blanche et couleur. Elle produit des papiers transformés : crêpés et paraffinés. En 1964 : elle emploie 55 personnes. L’usine de LA PLAINE SAINT-DENIS, 3 600 m2 sur 6 000 m2, en zone urbaine de région parisienne produit de la grosse transformation dans le domaine de l’emballage : papiers bitumés, armés et non armés pour l’emballage maritime, papiers crêpés et paraffinés, contrecollés alu et thermocollants ; elle possède une ligne d’impression flexographique à l’aniline et une ligne d’héliogravure. Le laboratoire de recherche de CGP se situe dans cette usine.
- En 1964, elle emploie 63 personnes et est dirigée par M. VERMONT.
- L’usine de COUDES : aucune production en 1964.
- L’usine ROYERES, située au bord de la VEZERE, produit 8000 tonnes par an de papier de pate de paille et de recyclés sur une machine à papier de largeur 2,20m et 13 000 tonnes de carton ondulé sur l’onduleuse ; l’usine possède un atelier de caisserie moderne.
En 1966, le nom de la société devient COMPAGNIE GENERALE DES PAPIERS.
En 1968, l’usine de COUDES démarre la production de papier.
L’année 1973 marque la fin des trente glorieuses. L’année 1974 est particulière pour la profession papetière, en raison d’une pénurie mondiale de pâte à papier et de papier : les carnets de commande se gonflent en permanence pendant toute l’année 1974, atteignant 8 à 10 mois. Comme toutes les bulles, celle-ci éclatera début 1975, vidant les carnets de commande, entrainant arrêts de production des usines, chômage et début des difficultés de la profession.
La production des 3 usines de papier (hors ROYERES) passe de 18 000 tonnes en 1969 à 24 000 tonnes en 1973.
La production des papiers transformés sur les 4 usines passe de 7 000 tonnes en 1969 à 10 000 tonnes en 1973, le papier crêpe est en forte progression passant de 2 000 tonnes à 4 300 tonnes pendant cette période.
La production de carton ondulé sur les 2 usines de PONTS et MARAIS et UZERCHE passe de 19 000 tonnes en 1970 à 26 000 tonnes en 1973.
La distribution de papier en l’état et de papiers transformés est de 22 000 tonnes en 1973 et celle de carton ondulé de 12 000 tonnes (une grande partie du carton ondulé étant vendu directement par ROYERES).
Le développement du CG PACK (papier blanc + film PEhd collé imprimé ou non en formats) est très important : la transformation se fait dans plusieurs succursales permettant un service maximum au commerce local)
CGP est en 1974 le premier distributeur français d’emballage :
Le CA passe de 91 953 000 FF en 1969 à 158 684 000 FF en 1973, soit une hausse de 72 % (pour un taux d’inflation de 29 % pendant la période). En 1972, le résultat consolidé du groupe avant impôts et avant amortissement est de 6 % du CA.
L’effectif du groupe en 1973 est de 1 160 personnes.
À partir de 1970, le développement important de l’emballage plastique au détriment du papier incite CGP à investir dans ce secteur. En 1975, CGP décide la mise en place d’une extrudeuse de PEhd sur l’usine de COUDES. La démarche est originale car la plupart des plasturgistes qui ont investi dans le PEhd sont préalablement passés par le PEbd. Mais CGP achetait beaucoup de PEhd pour la réalisation de l’ECOPACK. Ainsi démarre en 1975 avec difficultés une extrudeuse GLOENCO.
Le CA avait continué d’augmenter entre 1973 et 1980 passant de 158 684 000 Francs à 391 000 000 Francs, soit + 150 % pour une inflation de + 100 %. Mais à partir de 1981, il régresse en franc constants, atteignant 492 000 000 Francs en 1983.
L’activité du papier est en décroissance de 15 % entre 1980 et 1983 en raison de la forte concurrence et de la guerre des prix suite aux importations et à la politique de certains fabricants.
Le carton ondulé est le secteur le plus dynamique du groupe avec 15 % de croissance en volume entre 1980 et 1983 mais CGP est un petit acteur dans la profession. L’exportation est inexistante en dehors de l’activité d’EMBALCO en Belgique et de papier sur la Grande Bretagne.
En début de 1984, Henri BERTRAND est assisté par un directeur général Claude LANGLADE qui prendra les premières mesures de redressement : fermeture de l’usine de SAINT-AMANT TALLENDE et concentration sur COUDES de l’activité des 2 usines.
Le plan de restructuration est engagé en septembre 1984 :
- Confirmation fermeture usine SAINT-AMANT TALLENDE
- Fermeture partielle de LA PLAINE SAINT-DENIS
- Réorganisation complète du siège, des succursales et des usines
- Fermeture de 9 succursales et de l’atelier de PANTIN
- Suppression de 259 des 779 emplois (UZERCHE, VALPLAST et EMBALCO ne sont pas concernés par le plan). La réorganisation commerciale conduit à 2 divisions :
- 1 division industrie avec 3 départements (papier et plastique - carton ondulé - grandes surfaces) pour tous les produits sur fabrication, 9 commerciaux dont l’administration des ventes sera transférée dans les usines.
- 1 division distribution pour la vente sur stock avec 3 directions régionales : PARIS - LYON - TOULOUSE et 1 dépôt à NANTES.
- Le plan se déroulera rapidement comme prévu mais évoluera dans le courant de 1985 : L’usine de LA PLAINE SAINT-DENIS sera totalement fermée
Le plan de restructuration lancé en 1985 se déroule sans obstruction majeure et l’efficacité du plan et l’amélioration de la situation économique générale conduisent à un redressement rapide de la société qui redevient bénéficiaire dès 1986 :
Le CA 1988 atteint 472 millions de Francs avec un résultat net de 6 % et un effectif de 671 personnes.
En 1988 La direction de CGP est prise par Eric BOLLORE un des dirigeants de NOVALLIANCE.
Le groupe NOVALLIANCE va connaître une boulimie d’acquisition qui se concrétise pour CGP par le rachat d’ELCE TECHNOLOGIE (papiers spéciaux) en 1988, GAULT et FREMONT, PARIS EMBALLAGE et PRINTING PACK (emballages alimentaires) en 1990, GOUZY (étiquettes cosmétique) en 1990, MOREL et BARNERON (boites parfum) en 1990, VOA (bouteilles verre) en 1991, Papeteries de la Fourche et SODIPA (emballage alimentaire) en 1992, Cartonnage UNIC et THIOLLAT (cartonnages) en 1992, le GIE GEPAC et Papeteries du Nord (distribution) en 1992.
En 1989, CGP cède son activité carton ondulé, les 2 usines de PONTS et MARAIS et UZERCHE et le service commercial carton au groupe irlandais SMURFIT, un des leaders mondiaux du secteur qui fera peu après l’acquisition du groupe CELLULOSE du PIN.
En 1993, l’activité et les actifs de l’usine de COUDES sont filialisés en une société CGP INDUSTRIES avec son siège social à PARENT
La société mère regroupant toutes les entités du groupe emballage prend le nom de COMPAGNIE GENERALE DE PACKAGING : elle est dirigée par Eric BOLLORE. Son CA 1992 est de 1 766 millions de Francs.
Ce CA se répartit 41 % en carton plat, 25 % en distribution, 25 % verre et 9 % papier et plastique.
En 1994, ALTUS FINANCE, filiale du CREDIT LYONNAIS, en charge des actifs majoritaires, dirigé par J.F. HENIN, reprend le groupe CGP. CGP INDUSTRIES se retrouve dans le CDR (CONSORTIUM de REALISATION) qui a vocation à tout céder avec ELCE dont elle a pris le contrôle en 1995. ELCE avait développé un produit novateur le papier et le carton antiglisse pour intercalaire de palettisation qui prenait un essor important : une machine d’enduction de construction maison avait été installée. En 1995, son CA avait été de 43 millions de Francs.
Par un heureux concours de circonstances en 1996 Jacques PETIART (ancien dirigeant de CELTA du groupe ROSSMANN) noua le contact avec le groupe ESSWELL auprès de Jean-Marie LOUETTE qui dirigeait DORE EMBALALLAGE. ESSWELL était alors un groupe international de carton ondulé présent en Espagne, en Allemagne, aux Pays Bas, en Italie et en France (SIEMCO à NANTES et DORE EMBALLAGE dans le Puy de Dôme). Son CA était alors de 1 865 millions de Francs. Ce groupe appartenait à deux industriels papetiers associés, Jan SJOGREN et Miguel SAEZ.
En 1999, après la vente par le groupe ESSWELL de son activité carton ondulé le groupe se concentre sur la nécessaire réorganisation de CGP, et la fusion CGP INDUTRIES / ELCE est réalisée. Avec le groupe des 3 actionnaires actuels, Jan SJOGREN, Miguel SAEZ et Jean-Marie LOUETTE une nouvelle page de l’histoire de CGP s’ouvre.
Les volumes de papiers et cartons antiglisse augmentent de façon importante et la machine d’enduction d’ELCE ne suffit plus. D’autre part, la production des papiers transformés à COUDES demandait à être réorganisée dans des locaux plus vastes pour permettre son développement.
Une opportunité se présente avec une usine à CEBAZAT dans le PUY DE DÔME qui produisait du papier pour photocopieur et qui appartenait au groupe américain INTERNATIONAL PAPER. CGP rachète cette usine avec sa machine d’enduction, ses bobineuses et coupeuses et reprend 30 salariés en 1999.
Sous la Direction Opérationnelle de notre ingénieur Qualité Frédéric FROISSART, aujourd’hui Directeur Général du groupe, les machines de transformation de COUDES y sont rapidement transférées.
En 2000, une nouvelle machine d’impression film UTECO est installée et en 2001 une coextrudeuse 3 couches en largeur 2 200 mm démarre.
En 2002, l’usine ELCE qui avait migrée de CALUIRE à DECINES est arrêtée et l’ensemble des activités sont
transférées sur CEBAZAT.
En 2004, chacune des activités de CGP est filialisée :
- CGP INDUSTRIES pour les papiers transformés
- CGP FILM pour les activités plastiques
- COMPAGNIE GENERALE DES PAPIERS pour la production de papier
- la société mère devient CGP AUVERGNE
- une nouvelle machine de crêpage est installée et l’extrudeuse monocouche ALPINE 2 est transformée en coextrudeuse 3 couches.
La situation de la papeterie se dégradait rapidement en raison de la concurrence internationale qui pesait sur les prix et du déclin de nombreux marchés qui évoluaient vers d’autres produits. Ces difficultés touchaient tous les groupes papetiers français d’emballage autres que le carton ondulé.
La papeterie avait en plus été affaiblie par deux incendies et une crue de l’Allier en 2004.
Après des tentatives de réorientation des activités de papier vers les PPO légers et les échecs de concours externes, CGP arrête définitivement la production de papier en novembre 2005.
En 2005, CGP démarre une activité de transformation de papier antiglisse au CANADA et crée la société CGP
CARIBOU à SAINT-JEAN SUR RICHELIEU.
En 2006, CGP, pour continuer le développement des papiers transformés, saisit une opportunité et achète à BOURGES une grande usine. Dans cette usine sont installées une onduleuse pour les cartons antiglisse, des machines de découpe de cartons, une machine d’impression hélio pour élargir la gamme des enduits dans les papiers techniques. CGP fait l’acquisition d’ETIQROLL, une société d’étiquettes adhésives à ROCHECORBON (37) qui rencontrait des difficultés. Cette société, vu son positionnement près de VOUVRAY était très orientée vers la production d’étiquettes pour les viticulteurs. Après son redressement, un plan d’investissement vigoureux est relancé avec notamment l’impression numérique et les marchés industriels sont développés.
En 2007, CGP décide d’investir pour la production de films imprimés de haute qualité : une société dédiée est créée pour cette activité : CGP PRINT et une machine d’impression 8 couleurs est installée dans les anciens locaux de la papeterie ; les marchés visés sont les films de routage pour le marketing et les films alimentaires (complément marchés SOFILMA).
En 2008, CGP reprend les activités de la société MULTISAC au PUY-EN-VELAY, en liquidation judiciaire. MULTISAC est spécialisé dans la production de films et complexes imprimés et de sachets pour l’industrie alimentaire. La société CGP MULTISAC est créée.
La vente des papiers antiglisse au CANADA se développent et un accord étant conclu avec un distributeur canadien, une nouvelle société est créée au CANADA en 2008 CGP EXPAL à GRANDBY, près de MONTREAL : une coupeuse y est transférée pour découper en feuilles les bobines de papier antiglisse produites à CEBAZAT. La même année, est créée la société CGP EXPERT à BOURGES pour la recherche et le développement.
En 2009, SOFILMA et MULTISAC sont certifiés BRC.
En 2010 l’entité CGP COATING INNOVATION est créée pour porter la communication de l’ensemble des activités de transformation de papier.
En 2011, CGP FILM et CGP PRINT fusionnent dans la société CGP FLEXIBLE INNOVATION que rejoint CGP MULTISAC. CGP acquiert également un bâtiment au CANADA à BROMONT et y transfère les activités d’EXPAL. Un second suivra en 2018.
Entre 2009 et 2012, CGP INDUSTRIES développe une activité export importante pour les papiers et cartons antiglisse avec l’ouverture de bureaux de vente en ALLEMAGNE, au DANEMARK, aux USA et au MEXIQUE.
En 2012 CGP crée une société en ALLEMAGNE avec un bureau de vente à DUSSELDORF et une usine à PLAUEN,
près de la frontière tchèque.
En 2013, CGP EXPERT inaugure le Technical Center à BOURGES. La société CGP COATING INNOVATION NORTH AMERICA est également créée à ATLANTA aux USA et des bureaux de vente sont ouverts à ATLANTA et à ONTARIO en Californie. CGP fait l’acquisition de la société GIGAULT à CHALONNES-SUR-LOIRE, société spécialisée dans les étiquettes adhésives avec une clientèle de viticulteurs en ANJOU. Cette société familiale, en difficulté est rapidement redressée et un plan d’investissement relancé.
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